En Iran, des femmes dénoncent viols et agressions sexuelles sur les réseaux sociaux

 Le rythme du mouvement #أنا_أيضا s’est considérablement intensifié en Iran récemment, alors que des dizaines de femmes iraniennes sur les réseaux sociaux se sont adressées à la plateforme de médias sociaux pour usurper le harcèlement sexuel et le viol, ce qui a conduit dans certains cas à arrêter les personnes accusées d’agression.


Pendant 14 ans, Sarah O’Matali a gardé son traumatisme et son horreur secrets, incapable de parler de son calvaire à Téhéran à l’été 2006. L’ancien journaliste, qui vit maintenant aux États-Unis, a été agressé sexuellement alors qu’il interviewait un artiste de premier plan dans la capitale iranienne. Il y a environ une semaine, elle a finalement décidé de rompre son silence sur une série de tweets sur Twitter.